1) le loup (déjà à l'époque du pti chaperon rouge il fallait s'en méfier): zones de fortes démangeaisons issus d'un délicat coktail (celui de la caipirinha suivra) combinant humidité (peut être justement de la caipirihna), frottement et épiderme sensible
2) une impression de compression scrotomiale
3) un reflèxe souvent gênant de remise en place d'une ficelle mal placée
Pour le moment Mr Stringe est sauf. Sa mission est en cours malgré le danger omniprésent. La problématique de Belo Horizonte est complexe et intimement liée à sa topographie très accidentée (A ce propos, il existe un village dans une vallée donnant sur le Val d'Aoste dont le chemin d'accès est tellement pentu que lorsqu'on s'y rend on peut embrasser le chemin en marchant. Il s'appelle Baise-Pierre, note de l'auteur: véridique!), à son développement urbain chaotique (accompagné d'un taux d'imperméabilisation comparable à celui d?un parking de 300km2) et à des pluies topicales très intenses. Ainsi on peut observer des innondations rapides emportant tout et n'importe quoi et surtout n'importe quoi (le service de récupération des ordures n'est pas très au point).
Les conséquences sont diverses(verses); chaussettes mouillées (insupportable, je vous l'accorde), diminution des émissions de CO2(les voitures n'ont plus besoin d'allumer leur moteur pour se déplacer, ni de chauffeur d'ailleurs) Bien!! Pollutions de tout genre, Pas bien!!
Comme quoi il y a un potentielle d'optimisation énorme, genre se ballader en shlaps, sans chaussettes!! Ca c'est de l'inge(niai)rie!!
Dans de prochaines aventures, Mr Stringe partagera avec vous d'autres façon de sauver BH.
Photos:
1)rien a voir, mais ca fait du bien
2)BH vu du ciel
3)Mr Stringe en pleine recherche
4)Ciel vu de BH

Posted by César Lador on Friday 13 April 2007 at 15:54